Mathilde (1848-1920)

 
 

" Je vous embrasserai dans mon exil farouche, Patrie, ô mon autel, Liberté, mon drapeau ! " Victor Hugo.

Le 31 janvier 1920, Antoine Forestier, qui a quitté Paris le jour même du départ de Clemenceau, se recueille comme chaque jour devant le tombeau familial de Mazenc où jamais le corps de son fils cadet ne pourra reposer, disparu dans les tranchées de 17 en Argonne. Et Antoine se souvient…

Il a grandi là, aux milieux des vignes, élevé par ses grands-parents.

Son père, il ne l'a jamais connu, une vie mystérieuse résumée brutalement par deux dates sur l'obélisque noir qu'il contemple : Jules Forestier, 1832-1871.

Et pourtant Jules a été un résistant de l'ombre, luttant avec quelques compagnons sur le pavé parisien au nom de la Commune… et fusillé, pour les mêmes raisons.

Son père, il ne l'a jamais connu, une vie mystérieuse résumée brutalement par deux dates sur l'obélisque noir qu'il contemple : Jules Forestier, 1832-1871. Et pourtant Jules a été un résistant de l'ombre, luttant avec quelques compagnons sur le pavé parisien au nom de la Commune… et fusillé, pour les mêmes raisons. Antoine, en découvrant pas à pas la vie de son père, va faire la connaissance de Mathilde, aujourd'hui baronne de Wiener, amie de Clemenceau… Mathilde, si séduisante, si libre, a grandi sur les trottoirs montmartrois en passant de bras en bras pour subsister. Puis elle a su gravir les marches qui mènent à sa notoriété actuelle sans jamais renier ni son passé ni son irrésistible joie de vivre.

Mathilde qui devient la maîtresse d'Antoine, et qui fut autrefois le grand amour de son père…

De 1848 à la Commune, et de l'affaire Dreyfus au cauchemar de 14-18, la ronde des Mercœur, Dussert, Machecoul, Taurignan, Boissier - tous fils et petits-fils des héros de Mariella, - va continuer pour le meilleur et pour le pire dans cette Histoire de France vécue de l'intérieur. Notre histoire… Dans un roman absolument passionnant.

 

L' avis des lecteurs :
informations sur l'avis des lecteurs

 

M. Gallo,

J'ai beaucoup aimé votre livre, Mariella, sur le plan linguistique (je suis Anglais et m'intéresse à la langue française) ainsi que sur le plan historique - le nom de jeune fille de ma belle-mère est Ganteaume. Dès que j'ai lu les aventures de Bonaparte et de l'amiral Ganteaume dans votre roman, ma femme et moi, on a vite fait des recherches sur Internet afin de savoir si elle ne serait pas apparentée avec cet amiral remommé. Mais, non, il paraît que, d'après nos recherches, l'amiral Ganteaume n'a eu qu'un seul enfant - une fille.

Francoise Baptistine

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