Le Prix du sang (août 1942-21 juin 1943)

 
 

Automne 1942 : depuis deux ans déjà Bertrand Renaud de Thorenc, Geneviève Villars, Myriam Goldberg et tant d'autres autour d'eux résistent. Grâce à eux, il est désormais certain que, malgré « l'ombre et la nuit » de la défaite, « la flamme ne s'éteindra pas »

Pourtant, chaque jour, la vie des uns et des autres se fait plus dangereuse. La Gestapo resserre son étau : arrestations, tortures, déportations, fusillades d'otages. Thorenc, Geneviève Villars et leurs proches vont payer « le prix du sang ».

Ce sont leurs espoirs, leurs combats, leurs amours, leurs peurs, leurs difficultés et leurs doutes qui composent la trame de ce nouveau tome des Patriotes, sans oublier les amitiés qui les portent, les trahisons qui les menacent et ce, au coeur de la vérité du temps.

Thorenc est au centre de la Résistance. Il rencontre Jean Moulin, organise des réseaux, contrôle les maquis, exécute des traîtres. Il va de cache en cache, d'une ferme de Provence à l'appartement modeste d'un cheminot. C'est une femme, Catherine, qui l'accueille à Lyon, et l'amour surgit à nouveau. Cette époque contraint chacun à vivre avec passion l'instant qui passe.

Dans ce troisième volume, Max Gallo tisse la trame de destins individuels et de l'Histoire. Autour de ses héros, le filet se resserre. Myriam est déportée. Geneviève traquée. Jean Moulin lui-même tombe. Thorenc est capturé. Il va tout tenter pour s'évader et sauver ceux qu'il aime.

 

L' avis des lecteurs :
informations sur l'avis des lecteurs

 

M.Gallo,

J'ai lu les trois premiers tomes des patriotes, je dirais même que je les ai dévorés ! Bertranc Renaud de Thorenc journaliste puis résistant pénètre le lecteur de sensations successives de désespoir, de tristesse mais aussi d'espoir, de bonheur et même sensualité et passion au contact d'Isabelle, de Geneviève, de Claire et de Catherine.
Aujourd'hui, il nous reste les stèles et le souvenir
de nos grands parents patriotes et résistants, peu locaces sur cette histoire et pour cause. Je comprends mieux à présent leur mutisme, fier et soulagé aussi de savoir que tout en étant des sans grades ils ont contribué à sauver l'humanité des barbares.
Ce récit évoque de façon édifiante et terrorisante qu'il ne suffisait pas de choisir son camp pour résister mais qu'il fallait le payer quotidiennement, refuser de voir verser le sang de sa progéniture devenait un acte de collaboration, tel était le prix.

Merci de cette prise de conscience.

P.Bonfils

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